La troisième manche des Red Hook Criterium est sortie ! Cette fois, le Team Specialized x Rocket Espresso s’est dirigé vers Barcelone. Bien entendu, Manual for Speed était là, un pas en retrait, caméra au point. Continuez à lire pour voir ce que nos journalistes ont à raconter au sujet de ce qui s’est passé à Barcelone. Il semblait que les étoiles se soient alignées pour les gars du Team Specialized x Rocket Espresso alors qu'ils s'alignaient pour disputer la finale à Barcelone. Les quatre coureurs s'étaient qualifiés pour la course finale et roulaient très fort. Il y avait un sentiment, une ambiance, qui disait que ça allait être LA course de l'équipe. Alec Briggs et Stefan Schafer se sont qualifiés facilement lors de la première manche, le duo arrivant deuxième et troisième, ce qui leur a laissé pas mal de temps pour reposer leurs jambes avant la grande finale. En manche deux, Eamon a fait ce qu’Eamon fait toujours et il s’est frayé un chemin jusqu’à la première place. Comme on dit, la roue avait tournée. Qu’en est-il du quatrième ? Aldo était de retour. Il était de retour et courait à Barcelone, et si sa bonne forme et ses singeries étaient une bonne indication, il n'avait pas couru depuis Brooklyn. Mais le Dieu de la vitesse devait être sûr et décidé à tester son mental. Pendant les qualifications, Aldo a déraillé à pleine vitesse, et sans aucun moyen de ralentir, il a visé la barrière la plus proche. Heureusement, il a à la fois les réflexes et la vitesse du chat et a réussi à faire un parfait saut périlleux par-dessus la barrière en atterrissant sur ses pieds. Peut-être que tout le Wakeboard qu’il a fait commence à payer ? Ses points de Brooklyn l'ont automatiquement qualifié pour courir le match de la dernière chance, et ayant apaisé le Dieu de la vitesse, Aldo n'a pas été déçu du voyage et a remporté la victoire.

Et tandis que les hommes se préparaient pour la finale, Carla Nafría a pris sa place sur la grille de départ. Elle n'était pas satisfaite de sa huitième place en qualification et a commencé la course avec le feu dans les yeux. Cette année, le parcours à Barcelone a été modifié, il est devenu beaucoup plus technique. Lors des finales, les pilotes essayaient encore de se familiariser avec le circuit. Le nombre de virages signifiait que les coureurs devraient être très intelligents sur la façon et le moment où ils déploieraient leurs plus gros efforts. Pour avoir une chance de gagner, les coureurs devaient maintenir une position à l'avant du peloton.

Le parcours sinueux a cependant provoqué l’étirement du peloton et au fur et à mesure que la course avançait, les coureurs avaient de plus en plus de mal à remonter sur la tête de course. Malheureusement, Carla a été victime des difficultés du parcours, et alors qu'elle roulait fort, il semblait que la chance n'était pas de son côté, elle pouvait espérer au maximum une 10è place devant la foule de locaux de la manche. Selon la plupart des pilotes, un top 10 à Red Hook est un rêve devenu réalité, mais pour Carla, cela ne ferait qu'ajouter de l'essence au feu. Elle a l'esprit focalisé sur le podium et il ne fait aucun doute que Milan va être une course endiablée.

La course des hommes était brutale, attaque après attaque après attaque avec le Team Specialized x Rocket Espresso qui faisait le nécessaire pour raccourcir les pauses. Ces attaques continuelles ont donné le rythme dans le final et elles ont été seulement rendues plus difficiles par une bise soufflant de la Méditerranée. Les tours s'enchaînent et la fatigue s'installe, les coureurs explosent et tombent comme des matelots abandonnant un navire en feu. Avec encore quatre tours à faire, le Team Specialized x Rocket Espresso a pris possession de l'avant du terrain dans l'espoir de contrôler le rythme et de repositionner Alec Briggs pour lui donner une chance de remporter la victoire. Mais les étoiles ne restent pas alignées pour toujours. Tout d'abord, Aldo a laissé tomber et s'est retiré de la course complètement épuisé. Sentait-il les effets de sa convalescence ? Quelques tours plus tard, Schafer a tapé le bord du circuit, provoquant la cassure du peloton.

Malgré tout cela, Alec était encore en lice dans le dernier tour. Et avec un podium tout sauf assuré, il a choisi de tout tenter pour aller chercher la victoire. Mais ce n’était vraiment pas son jour. Coupant fort pour prendre la ligne intérieure, il en a trop fait dans le dernier virage ce qui a eu pour conséquence de faire déraper sa roue avant et ses chances de podium. Avec le champ libre, Eamon a été en mesure d'effectuer une solide fin de course et de récupérer la dixième place au classement général.

Ce n'était pas le résultat que l'équipe avait espéré, mais après tout, tout était dit et fait, l'équipe avait tout donné sur la piste et il n'y a aucun tort à trouver dans cela. Une fois la course terminée, la fête commençait et ce qui est certain, c’est que Barcelone sait comment faire la fête. Barca, nous vous aimons, et vous pouvez être sûr que nous vous reverrons l'année prochaine.

Lorsque l'escadron Specialized / Rocket Espresso Red Hook Crit pense à Barcelone, ils ont sans doute l’image d’une ville baignée par les journées ensoleillées et les lumières chaudes de la fin de l'été, pour tenter d’oublier les résultats pluvieux de Londres. A Londres, Eamon Lucas était sur un petit nuage et bien au sec avant d'être victime des routes mouillées et glissantes. Sans doute, il cherchera la rédemption en Espagne, et à en juger par ses publications sur les réseaux sociaux, sa vitesse sur le vélo a bien augmenté. Mais Londres n'était pas si mal que ça : le héros local, Alec Briggs est reparti avec une place sur le podium et cette troisième place l'a fait remonter au septième rang du classement général, juste derrière son co-équipier Stefan Schäfer. Depuis, Alec a varié son entrainement en Angleterre avec un peu de course sur route et de VTT, et nous ne doutons pas que l'entraînement portera ses fruits lorsqu'il s'alignera en Espagne.

Hélas, la sixième place au classement général n'est pas la ligne du tableau que Stefan vise étant donné son investissement à Londres et après avoir remporté la victoire à Brooklyn. Mais un souci mécanique dans la partie finale a rendu sa course pour le titre au général considérablement plus difficile. Et bien qu'il ne soit pas totalement hors-jeu, Stefan devra ramener Lady Luck à son côté s'il veut avoir une chance de remporter la couronne tant convoitée. 

Carla Nafria est originaire de Madrid, et même si elle n'est pas vraiment une locale de l’étape, elle ne souhaite rien de plus que de monter sur le podium dans son pays natal. Et nous sommes sûrs qu'elle serait particulièrement ravie de remporter la victoire face à une Barcelonaise, étant donné l'intense rivalité entre ces deux grandes villes espagnoles. Une nouvelle page pour l'équipe, elle a réalisé une performance impressionnante à Londres avant que ses espoirs de podium ne soient réduits à néant par les routes glissantes.

Le chef d'équipe Aldo Ilešič était notamment absent de la course de Londres, et nous n'avons toujours pas de nouvelles d'un éventuel retour au RHC en Espagne. S'il rejoint l’équipe, pourra-t-il enfin retrouver sa place parmi les plus grands ? Seul l’avenir nous le dira.

Cette année, les coureurs aborderont un nouveau tracé : étroit et sinueux, il y a neuf virages sur ce circuit, donc anticiper la vitesse, gérer l'effort et maintenir un bon niveau de concentration seront essentiels pour ceux qui cherchent à remporter la victoire (ou même simplement arriver en une seule pièce). Dans les deux premières courses, les hommes ont montré qu'ils forment une équipe efficace, et à moins de malchance, Specialized / Rocket Espresso est dans une position de force pour monter sur le podium. Pour Carla, sans doute l'excitation et la motivation de courir dans son pays natal lui donneront un petit coup de pouce supplémentaire vers sa route pour le haut du podium.

Toute l'action se déroulera dans le célèbre Parc del Forum de Barcelone, situé au centre de la ville juste à côté de la plage. Les coureurs, les organisateurs et les fans profiteront sans aucun doute des célèbres plages, boîtes de nuit, bars et s'ils le peuvent des nombreux sites culturels. Une chose est certaine, Barcelone va être un très bon moment.

Nous avons envoyé Manual for Speed ​​à Londres pour suivre l’équipe Specialized x Rocket Espresso à l’occasion du Red Hook Crit. Voici ce qu'ils ont vu. Faire du vélo dans les rues de la ville au milieu d'une meute de coureurs est difficile, c'est ahurissant, c'est de la folie. Et pour passer la ligne d’arrivée avec la première place, il faut rouler sur le fil du rasoir. Et le fil du rasoir est un fil bel et bien tranchant. Il est coupant et fin, et toute perte d’adhérence, toute erreur de calcul aura probablement des conséquences graves. Malheureusement, les étés à Londres sont assaillis par les bruines et les averses. A Albion, les dieux de la tempête ne tiennent pas compte des dates de course du Red Hook Crit. La course de cette année a été pluvieuse du début à la fin, ce qui a rendu les rues de Londres très glissantes comme de la glace et le fil du rasoir plus difficile à chevaucher. 

Lors de la finale féminine, la nouvelle recrue de Specialized x Rocket Espresso, Carla Nafría de Miguel, a montré qu'elle avait le rythme et était sur la bonne voie pour un top 10. Mais c’était avant que ses espoirs et son corps ne se heurtent au sol mouillé des derniers tours de la course. Confiante et imperturbable, Carla a maintenant les yeux rivés sur Barcelone où elle fait des plans pour monter sur la plus haute marche du podium devant une foule de compatriotes.

Le temps ne s'est pas amélioré pour la course masculine. Le vainqueur de Brooklyn et leader de la série Red Hot Crit, Stefan Schafer a souffert d'une crevaison ce qui a mis fin à ses chances d’une autre victoire. S'en tenir au plan. Eamon Lucas avait l'intention de prendre le contrôle de la course depuis l'avant, imposant un rythme élevé qui allait réduire le reste du peloton. Et tandis qu'Eamon montait à l’avant, le héros local Alec Briggs - le Lion de Londres - se positionnait stratégiquement pour une place sur le podium. Il était évident pour tous qu'il était sur un petit nuage et qu’il ressentait l'énergie de sa ville natale lorsqu’il a aussi été stoppé par une crevaison. Heureusement, Alec a pu réparer rapidement et se remettre dans la course sans trop de dégâts.

La pluie tombait sans répit et avec 15 tours à faire, la malchance a frappé à nouveau. Lucas a été impliqué dans une chute qui l'a envoyé au sol. Saignant du coin de l'œil, à peine avait-il touché le sol qu'il était de retour sur la selle et au cœur de la course. Malheureusement, Eamon n'a pas été capable de rester au contact du peloton dans les derniers tours. Et même s'il ne se classerait pas dans les trois premiers, ses efforts ne passeraient pas inaperçus et il repartit de la course avec le maillot du Top Antagoniste.

Pendant ce temps, Alec avait remonté le peloton pour se mettre à portée de tir lorsque le drapeau blanc tomberait. Avec l'habileté d'un coureur Red Hook chevronné et l'énergie de la foule qui le transportait vers la ligne, Alec a pris la troisième place dans un sprint contre le vainqueur de la série de l'année dernière et s'assura une place sur le podium. MENTAL! Cette course a été si difficile, et pourtant, malgré les nombreux problèmes mécaniques, accidents, crevaisons et mésaventures auxquels l'équipe a dû faire face, la troisième place d'Alec et le maillot d’Eamon de Top Antagonist témoignent de la puissance et de la ténacité de Specialized x Rocket Espresso. L'équipe attend déjà avec impatience le climat ensoleillé et sec de l'Espagne et ils s'attendent à ce qu’ils prennent place sur le podium à Barcelone.

C’est l’heure de la seconde manche du Critérium Red Hook, et cette fois, le Team Specialized x Rocket Espresso se rend à Londres. Bien sûr, Manual for Speed ​​est là pour enquêter. Lisez la suite pour voir ce que les journalistes ont à dire sur l'événement à venir. Après presque deux mois de pause, la série Red Hook Crit (RHC) est de retour. Cette fois-ci, Mad Max rencontre F1 qui rencontre Roller Derby. Glastonbury : Race/Party/Experience se déplace dans la péninsule de Greenwich à Londres. Par le passé, des pirates étaient pendus dans des cages sur les rives de cette péninsule pour servir d'exemple à tous ceux qui seraient attirés par cette vie. Avec le combat de rue du RHC qui se prépare, il est évident que cet avertissement a depuis longtemps été oublié. Alors attendez-vous à du grand spectacle, à des sensations fortes, et bien sûr, au butin ... la récompense réservée au vainqueur – c’est parti ! C'est dans cette mêlée que navigue le navire Specialized x Rocket Espresso. L'équipage est bien préparé, cumulant assez de watts pour alimenter le London Eye. Ils arrivent avec toutes les espérances qu'ils peuvent pour répéter et améliorer le succès qu'ils ont eu à Brooklyn alors qu'ils visent de leurs canons, la plus importante course de pignon fixe de tout Ye Olde Albion.

Et pendant que toute l'équipe se prépare, il ne fait aucun doute que cette course va être spéciale pour Alec Briggs. Né à Londres, Alec a fait ses armes ou devrait-on dire « modelé » ses jambes, sur les courbes du Vélodrome de Herne Hill qui se trouve à deux pas de l'hippodrome du RHC. Est-ce que ce sera un bon jour pour Alec ? Seul l’avenir nous le dira, mais l'équipe Specialized x Rocket Espresso est pleine de talent et Alec n'est pas seul dans sa quête de la plus haute marche du podium.

Le chef d'équipe Aldo Ilešič a établi le record du tour du circuit de Londres en 2016 et après tant de visites sur le podium, il est toujours à la recherche de cette première marche insaisissable. Est-ce que Londres sera SA course ? Aldo revient au Royaume-Uni aux côtés du jeune musclor de l'équipe, Eamon Lucas, et les deux sont en mode machine après une longue série de courses préparatoires dans les critériums les plus prestigieux de l'Amérique. En ce qui concerne le gagnant de Red Hook Brooklyn, Stefan Schafer, il est connu pour faire profil bas. Mais avec déjà une victoire à son actif, il n'y a aucun doute que l'Allemand sera affamé de victoires.

Peu importe le résultat final, l'équipe est sûre de faire bonne figure à bord de leurs Allez colorés. Oubliez le crâne et les os qui se croisent, ce sont les couleurs vives et audacieuses de ces vélos qui feront fureur au cœur du peloton. Combiné avec le fait que ces vélos semblent déjà rapides alors qu'ils sont encore immobiles, il ne fait aucun doute que l'équipe a un avantage psychologique sur le reste du peloton. Et même si nous ne pouvons pas prédire l'avenir, nous sommes convaincus qu'il y a de fortes chances que nos coureurs prennent d'assaut le podium à Londres.

Cette année était le 10è anniversaire de Red Hook Crit Brooklyn et les enjeux n'avaient jamais été aussi élevés. Au cours de la dernière décennie, le prestige de cette course a grimpé en flèche et la compétition a réagi en fonction. Les courses devenant de plus en plus professionnelles, les coureurs plus dévoués et le rythme de la compétition de plus en plus rapide. En 2017, la série Red Hook Crit (RHC) s'arrêtera à Brooklyn, Londres, Barcelone et Milan, et cette combinaison de lieux métropolitains densément peuplés, associée à une journée complète de qualifications et de courses, est devenue un format très populaire. Les énormes foules qui suivent le parcours, des premières qualifications jusqu’à la finale, témoignent du succès de ces courses. Et avec l’agitation médiatique du 10è anniversaire et le beau temps pour les prévisions météos, l'édition de cette année promet le feu. L'arrivée du Gang Specialized x Rocket Espresso avec Four-Aldo, Eamon, Stefan et Alec était comme ajouter du carburant à l'incendie et ils ont pris l'évènement avec un tout autre niveau d’exigence. Cette équipe est un super groupe à tel point que leurs palmarès est un palmarès. En 2016 uniquement, Aldo était deuxième de la série, Stefan a remporté la victoire à Milan et Alec était bien placé dans le top 10 au classement général. Et alors que Brooklyn serait le premier Red Hook Crit d'Eamon, le garçon n'était pas stressé - il a passé les deux dernières années à se faufiler dans les Crits et les courses sur route autour du monde. Il a apporté de grands espoirs à l'équipe d'avoir un week-end réussi. A bord de leurs magnifiques vélos Allez Sprint, ornés d'un traitement graphique de folie (conçu par Dylan Buffington), l'équipe était équipée pour tuer et la chasse était lancée.

Alec et Aldo ont chacun remporté leurs manches qualificatives, tandis qu'Eamon et Stefan ont eu des problèmes lors de leurs qualifications respectives avec des chutes et des problèmes mécaniques. Ils ont rebondi pour prendre les première et deuxième places dans la course de la dernière chance. Avec toute l'équipe sur le terrain pour la finale, l'ambiance dans la tente de l'équipe était électrique. La première moitié de la finale était un combat au couteau remplie de feintes et de coups de poing directs des équipes tout au long du parcours. Mais lorsqu’à mi-course Colin Strickland a lancé une attaque avec Stefan collé à sa roue arrière, l'échappée a coincé. Aldo, Alec et Eamon, ont montré leur confiance en Stefan en fermant toutes les tentatives de combler le retard. Pendant ce temps, Strickland et Schäfer ont augmenté le rythme et creusé un écart important dans le reste du peloton, mettant en place un double pistolero pour l'arrivée. Malheureusement, une chute à cinq tours à faire a obligé la course à s'arrêter pour dégager le parcours. Aldo se retrouva mêlé à la chute et alors que le temps passait, il se précipita vers les stands pour récupérer une nouvelle roue, remettre son guidon en place et prendre une petite bière avec les acclamations de la foule.

À la reprise de la course, Stefan et Colin ont repris une longueur d'avance pour rétablir les faits de course et encore une fois, nous regardions une compétition à deux avec une issue sur le podium. Avec un tour restant, Colin a attaqué ; imperturbable, Schafer lance une contre-attaque alors qu’il reste un demi-tour, Strickland prend le large pour récolter le drapeau à damier de Brooklyn. Aldo se place troisième, éclaboussé de sang, trempé de bière, et avec un large sourire sur son visage. Alec avait pris une avance assez tôt et Eamon avait creusé l’écart profondément tout au long de la course. L'équipe avait parfaitement travaillé ensemble, quelle course !

La série Red Hook Criterium (RHC) représente un aperçu de l'avenir « moderne » du cyclisme sur route professionnel. Pourquoi ? Parce que le RHC est une série internationale de courses hautement spécialisées, qui mettent en valeur et démontrent l'explosion de vitesse la plus pure, la plus brute et la plus passionnante que le cyclisme puisse offrir. Entre NASCAR, Rodéo, Fight Club, gladiateurs modernes, et VITESSE ! L'enthousiasme pour le Red Hook Criterium augmente à un rythme exponentiel - des amateurs de cyclisme et de sport aux amis et à la famille, aux randonneurs et aux citoyens ordinaires. L'approche moderne du Red Hook Criterium en matière de spectacle de la course ainsi que son nouveau format changent la donne. À leur tour, les fans du monde entier modifient leur regard sur le critérium. Le RHC a inauguré une vague d'enthousiasme pour ce style de course à l’égard des fans du monde entier.

Creating good design is difficult. If it’s been manufactured, it’s been designed. All day, every day, the deluge of design means that we're in a constant state of critical review. And while the majority of us passively ingest this information, when presented with a need for judgement, our experience informs an ability to critique—and designers have no choice but to take notice. As Mark Twain once said, “The public is the only critic whose opinion is worth anything at all.” But the public can’t design, creation by committee is doomed, and so to be a designer is to stake a claim in the face of overwhelming criticism. To be successful requires skin thick enough to withstand this onslaught, yet thin enough to recognize its value. Dylan Buffington likes to think that he’s spent his formative years searching for this balance. In 2016, Specialized created four custom paint schemes for their two riders competing in the Red Hook Crit series. Heading into 2017, the Red Hook team has been expanded to include five riders, but their bicycles will be brought under one unified design. After making this decision, the design group within Specialized sought to develop a set of guidelines for 2017 based on their efforts the previous year. Though they had the best intentions, the world is a busy place: things crop up, demand attention, and get in the way. Suddenly, the team found themselves up against a fast-approaching design deadline.

New to the Specialized team, Dylan Buffington volunteered. He would need to design a comprehensive graphic package for the five riders on the the Specialized/Rocket Espresso Red Hook Criterium race team: an integrated look that accounted for the bike, shoes, helmet, kit, and other accessories. The designs needed to capture the speed and excitement of the Red Hook Crit series, they needed to evoke the idea that this style of racing is breaking old paradigms, and that its unique makeup is helping to push the future of bicycle racing forward. In addition, he needed to communicate these ideas in a way that was palatable to the consumer market. They couldn’t simply be one-off specials, the design had to be scalable and appeal to a public appetite. Oh—and it all needed to get done in two weeks.

Taking inspiration from the iconic BMW Art Cars and their melding of art and speed, specifically those by Andy Warhol and Jeff Koons, Buffington jumped in, “Warhol spent like 36 minutes painting his car. He was minding, but not minding too much.” It was the way in which Warhol walked the line between thoughtlessness and over-thinking that inspired Dylan, and with a time crunch of his own, he adopted this idea as a guiding principle. As he was going through his mood boards, he discovered that the same seven colors kept appearing: “I just wanted to use them all,” said Buffington, ”but I kept getting feedback that it was way too many, especially for production. But I knew it would be right, and sometimes you just have to do it without asking first, and tell everyone they need it after it’s done.” Buffington, guided by intuition, devised a method by which the graphics would work for production. Once done, he began applying the graphics to a huge assortment of accessories and equipment, each presenting their own set of design challenges. He piled on the hours, slept in the design studio, and tacked on more than a few overnighters. Was it worth it? The various production timelines meant that Buffington needed to survive a few anxiety-riddled months before seeing the final results. Seemingly unfazed, Dylan espouses the philosophy that, “If you feel good about, run it.” Upon seeing the final results, he was not disappointed. Now it’s up to the Specialized / Rocket Espresso team to put all that effort on the top of podium.